Les droits du cadavre

En continuité directe avec le Droit à la mort (2019), cet ouvrage entend illustrer, nombreux exemples concrets à l’appui, le respect et l’irrespect que les sociétés, la nôtre et avant la nôtre, ont portés aux cadavres et autres restes humains.

Cela va de la levée du corps après le décès jusqu’aux différents modes de sépulture (dont les plus récents : compost humain, aquamation, cryogénisation…) en passant par les questions du don d’organes, du don du corps à la science, du refus d’enfouissement, de l’autopsie, des perversions, du commerce des restes humains, des exhumations, de l’utilisation des cadavres dans un cadre artistique ou d’information.

Sans oublier les questions relatives aux personnes dans le coma, aux corps non identifiés, aux cadavres militants (soldat inconnu par exemple), aux mariages post mortem, aux faux morts, aux absents et aux disparus, aux morts civiles.

Et, sur le plan moral, y sont abordées les questions relatives au respect de la vie antérieure au décès, aux dernières volontés, aux épitaphes et aux monuments, aux droits d’auteur (qui se perpétuent pendant 70 ans après le décès), aux droits de la personnalités (image, nom, honneur et réputation…) post mortem.

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